Mercredi 20 octobre 3 20 /10 /Oct 00:16

 

Une incroyable carte où vous pouvez indiquer vos travers sexuels, vos préférences, vos moindres petites songeries fetishistes. Naviguez d'île en île.. jouez à Robinson dénudé de ses tabous.

 
Retrouvez mes chemins et aventures personnelles ;-)

Par Lady Lorin
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Lundi 11 octobre 1 11 /10 /Oct 22:46

Je n'ai pas pu me retenir (et puis j'aime bien la miss Huppert), je suis allée voir Ni queue ni tête. 

 

Bon. 

 

La séquence sympa c'est le face à face avec le psy blasé qui n'a même plus envie de se sucrer sur le dos de ses clients.. pardon mais on dit "malade" ou "client" chez un psy ? Gaffe aux mots ! 

Eblouissante Isabelle, pute blasée (itou) mais toujours vive, qui le remballe en grande largeur. Comme si elle la lui mettait bien profond. Je m'identifiais sans doute, j'ai pris mon pied. 

 

L'idée était pertinente. Psy vs pute. Déjà le bouquin certes mal écrit mais si authentique qu'on l'aime bien "La mauvaise vie" rappellait la similitude entre les deux corpos : on va voir les psys et les putes pour compenser ce que l'on ne trouve pas ou plus à la maison; de l'écoute chez les premiers, de l'amour chez les secondes.

 

Ici le film, consensuel car époque oblige, tente un jeu de miroir compatissant où les coeurs désincarnés des uns et des autres se ranimeraient grâce à la confrontation. 

 

Un bing bang d'âmes pour reprendre corps. Et âme, donc. 

L.-bracelet.jpg 

Contemplative de prime abord, je me serais presque laissée bercer. 

 

Ben finalement je trouve que le film se suce et se mord la tête avec des images lourdes de sophistication pour décrire les rendez vous de la pute, en passant par les deux kilos de foie sanguinolent dans une écuelle pour jouer à la soumise, sans oublier babygirl qui caresse nounours, pour finalement exprimer..  rien de rien de rien.

Une théâtralisation sans limites et tout creux dedans.

Merci les scénaristes, c'est votre job après tout (pas l'amour ni le cul, enfin rarement). 

 

Tandis qu'il se prend la queue dans le tapis en nous décrivant ce pauvre type-psy énervé, qui meurt d'envie de se taper une femme hors champ conjugal pour voir du pays, qui bande à vue sur Isabelle (et on le comprend), il la paie 10 séances d'avance mais jamais il ne lui touche le bras, ne lui effleure la cuisse, n'approche ses lèvres.

 

Savez quoi..  c'est ALL bidon !

 

J'en garde : 1- la conviction que l'énergie est chez les putes, pas chez les psys. Mais je le savais d'avant; 2- deux ou trois scénettes décapantes; 3- des clichés bandants d'Isabelle diaphane, rousse et hyper huppert happante dans sa cinquantaine; et 4- re- re- re- le sujet "putes" frôlé mais pas touché.

 

En fait j'aime autant la chanson de Souchon "Sans queue ni tête", ça sonne plus vrai. 

 

A pluche mes petits loups. 

Par Lady Lorin
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Dimanche 3 octobre 7 03 /10 /Oct 22:46

Euh pardon, mais j'ai un gros coup de Coeur (grand comme ça) là : 

http://www.lessoeurs.org/les_soeurs/whos_who/

Ca vaut le détour !

Voilà, vous pouvez reprendre vos activités normales.

Signée : la cadette ou l'ogresse ;-)

Par Lady Lorin
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Vendredi 7 mai 5 07 /05 /Mai 13:12

N'en déplaise aux jeteurs barbus de sorts kamikazeux, la tornade féminine ne s'arrêtera pas là. 

Je n'ai pas encore envisagé de rhabiller mes attributs.

Un peu d'Islande rémise au goût du jour donc.

Avec poussières dans les naseaux et crachats lesbiens au programme.  


 Relire : Islandic Unhibited version Geographique

      Ou bien : Islandic Unhibited version Erographique


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Par Lady Lorin
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Samedi 9 janvier 6 09 /01 /Jan 23:09

Les jeux d’eaux ont leurs adeptes. Comme l'endurance, le saut en longueur ou le tir à l'arc.

François m’a proposé une sortie aquatique. Pour sortir de l’ordinaire. (
!) Nos rendez-vous sont rarement ordinaires, pourtant.

On fouille un peu... finalement, option prise pour le Shéhérazade - qui ne s'appelle pas le Shéhérazade dans sa vraie vie. Les spécialistes reconnaîtront facilement le lieu, devenu officiel rendez-vous des hammameurs dévoyés.

 


Attention à ne pas se tromper d’horaires : à l'heure du déjeuner, ce sont les illégitimes qui se réfugient dans les salons porte scellée (mais fenêtre ouverte sur les voyeurs) ; de 15h au soir, ça se mélange ; et le soir… je ne sais pas… ça doit être cours de plongée.

Joli endroit. La poupée slave qui reçoit au vestiaire est immense. L’autre qui s’occupe des boissons et du ménage vient accessoirement gigoter de son fessier magnifique pendant les instants relaxations – vous savez, lorsque les messieurs reprennent leur souffle à la sortie du bain, serviette autour de la taille.

Au Shéhérazade, on se branle pendant la relaxation, c’est encore mieux.

Une fois tous nus comme des vers (d’eaux), très vite envie de jacuzzi. Ca bulle, il fait chaud, le décor est bien arrangé et tout est propret… ça presse.
 
 

 

Il n’y avait qu’un homme lorsque j’y ai plongé, mais on a dû prévenir les autres : ils étaient 5 autour de moi en quelques minutes. Je ne suis pas une fan de la pluralité, surtout lorsqu’elle est immédiate et anonyme. Mais… comme je baignais sur le ventre, les cuisses entre les bulles… j’avais François dans ma bouche, sa langue, sa queue, alternance… Des mains très douces ont avancé sur mes territoires, d’innombrables mains. Mes cuisses étaient écartées, le plus possible. Une main a dirigé mon pied droit vers une queue vigoureuse, tandis que mon orteil du pied gauche s’est fait suçoté avec une grosse tendresse. Les mains sont venues glisser vers ma chatte. Il y avait des doigts qui œuvraient, certains qu’il fallait apaiser et ralentir (car l’eau, ça grippe), d’autres qui tripotaient mes seins, les malaxaient, les broyaient. Je me suis retournée vers tous ces amants qui me rendaient ivre, et hydre. Des visages de sourires. Je suis offerte et je me sens gâtée comme une reine enivrée, le temps s’est – encore – arrêté et je me demande comment j’ai pu ne pas songer plus tôt à venir me faire autant aimer. François a choisi un petit mec pas mal, et on l’a d’abord entraîné dans le sauna, histoire de tester le cœur en version hot & dynamic, puis dans un des «salons» avec banquette de massage. Je me suis installée, chienne alanguie, à quatre pattes et bien cambrée pour recevoir tout ce qu’ils débordaient de me donner. Les doigts dans ma chatte, dans mon cul. La bite du petit mec dans mes mains, dans ma bouche. Puis instinctivement je revenais à celle de François, priorité de mon après-midi puisqu’il était l’élu de l’accompagnement. Il a joui, de ma langue et dans ma main. Tandis que l’autre ne bandait plus trop, un peu frustré. Ce sont les regards des voyeurs affairés autour des fenêtres qui l’ont refroidi.

Break. Jus de pamplemousse et coca light. La fille s’est mise à danser sur la piste et elle m’a troublée. Je tremblais en buvant mon pamplemousse et j’ai tenté de la rejoindre sur la piste… elle ne voulait pas. C'était pro et peut-être pas du tout bi. Dommage.

Causette improvisée avec un joli couple, probablement comme le nôtre. Madame très blonde à lunettes noires, très belle. Un très joli cul dans un pantalon moulant. Monsieur très business, charmant au demeurant. Leurs eaux à eux étaient sur la fin et ils regrettaient de devoir nous quitter… Un autre petit dommage.

-lorin-nue-bw.jpg

Rafraîchis des agrumes, nous voilà repartis dans le jacuzzi. Nouvel état d’hydre aux milles branches, pelotonnée dans l’eau et écartelée de tous mes membres, sensorialité rendue à l’état source : et si l’humanité avait commencé par être pieuvre plutôt que poisson ?

Alors il y a eu cet homme, fort distingué dans ses attitudes, puis rapidement envahi d’une admiration sans borne pour mon corps et mon âme qui s’abandonnaient. Il est venu, il a joui, en fureur, en se branlant sur mon cul cambré alors qu’il me tenait fermement les hanches. Et les bulles continuaient sous mon ventre.

Puis il y a eu ma jouissance, très forte, la chatte collée contre un jet d’eau pendant que les caresseurs de cuisses et les suçeurs d’orteils avaient repris leur harem de doigts et de mains éparpillés.



lorin-lit-pli-e.jpg

Et il y a aussi eu cette femme, ronde et entreprenante, qui est venue m’assaillir alors que je reprenais mon cher François en bouche. Elle s’est frottée de tout son long, elle a remonté très haut mes fesses au dessus des bulles, pour me lécher, me goûter des doigts et me caresser de ses seins. Baisers au féminin pluriel, exhibition délicieuse au milieu d’un bassin. Tendresses en miroir et belle effusion de courbes.

Il y a eu un nouveau jus de pamplemousse, un coca light, puis nous avons quitté les eaux pour retrouver la ville. La lumière. La vie, l’urbaine.



Lorin : Maîtresse Nageuse Salope

Par Lady Lorin
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Qui c'est Lady Lorin ?

Lady Lorin, c'est un kaleidoscope de bouts de moi.
C'est un peu mon oeuvre, aussi.
Spermatozoidée par mes amours et ovulée de mes aventures.

Je la dorlotte, je la lisse. Je la malaxe ou je l'écrase puis je l'étire pour lui donner d'autres formes.
Je la grandis.

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Email :

lorinaparis@yahoo.fr

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